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Les Bills, les Chiefs et les Ravens visent les honneurs, les Bengals à contre-courant

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Toujours près de l'objectif depuis quelques saisons, mais chaque fois à court, les Bills et les Ravens aspirent à nouveau aux grands honneurs. Pour ce faire, Buffalo et Baltimore devront finalement résoudre l'énigme que leur posent les Chiefs de Kansas City en éliminatoires.

Les protégés d’Andy Reid règnent en roi et maître sur leur association.

Les Chiefs sont abonnés au titre de l’Américaine avec cinq participations au Super Bowl depuis 2020. Un modèle de constance, alors que même les récentes éditions glorieuses des Patriots de la Nouvelle-Angleterre n’ont pas atteint un tel standard sur une période de six saisons.

De retour après un retentissant échec au dernier Super Bowl, ni plus ni moins qu’une gifle au visage, les Chiefs sont encore pressentis pour remporter la palme. La compétition se rapproche toutefois près du sommet et à même la division, qui leur appartient néanmoins depuis neuf ans. Une éternité dans la Ligue nationale de football (NFL).

Auparavant une puissance offensive, les Chiefs ont obtenu leurs derniers succès avec leurs prouesses défensives. Si l’on peut s’attendre à une tenue similaire de l’unité dirigée de main de maître par le coordonnateur Steve Spagnuolo, qu’en est-il de l’attaque de Patrick Mahomes?

Pour le moins incertaine. Mahomes et Reid sont toutefois capables du meilleur ensemble et de masquer certaines défaillances.

Un footballeur court avec le ballon en tentant d'éviter des adversaires.

Patrick Mahomes

Photo : Getty Images / David Eulitt

Le coup d’envoi sera donné sans le principal receveur éloigné de la formation, Rashee Rice, qui purge une suspension de six matchs en raison d’un grave accident de voiture. Sa dernière saison a également été écourtée à quatre matchs après qu’il eût subi une importante blessure à un genou.

Fidèle acolyte de Mahomes depuis ses tout débuts, le vétéran Travis Kelce a ralenti la cadence pour une deuxième campagne d’affilée, et la retraite semble plus que jamais pointer à l’horizon. Le temps semble faire son œuvre sur le futur membre du Temple de la renommée, qui atteindra les 36 ans en octobre.

Il n’en demeure pas moins efficace, notamment près de la zone payante, en mesure de signer une grande performance à tout moment, mais tout indique qu’il n’est plus la référence des ailiers rapprochés à travers la NFL.

L'absence de Rice et le ralentissement de Kelce ouvrent la voie au jeune Xavier Worthy, une sélection du premier tour (28e rang) au repêchage de 2024, vers qui l'on se tournera en début de saison. Une occasion rêvée pour le marchand de vitesse de s'établir comme receveur de premier plan pour Mahomes.

Un footballeur entre sur le terrain.

Lamar Jackson

Photo : Getty Images / Will Newton

L’histoire se répète ces dernières années en ce qui a trait aux Bills et aux Ravens.

Ces deux ténors de l'Américaine n’ont pas su transposer leur réussite de la saison aux éliminatoires, essuyant quelques pénibles échecs au passage, en route vers une participation au Super Bowl qui ne se matérialise pas.

Si ce n’est pas un effondrement de la défense des Bills en 13 secondes à Kansas City, c’est un revirement aux abords de la zone des buts de Zay Flowers, ou bien des ballons échappés de Mark Andrews. Les désagréments ont été nombreux de part et d’autre.

Josh Allen et Lamar Jackson se tiennent aux côtés de Patrick Mahomes dans la catégorie des joueurs d’exception. Un cercle fermé complété par Joe Burrow. La proverbiale fenêtre de succès demeure ouverte lorsque l’un d’eux se retrouve aux commandes d’une attaque.

Le quatuor est réuni dans la même association, donnant lieu chaque saison à plusieurs rencontres d’envergure parmi la fine élite des quarts-arrières. Dès dimanche, les Ravens et les Bills auront tous les réflecteurs braqués sur eux pour le lancement de leur calendrier en soirée.

Un footballeur court avec le ballon.

Josh Allen

Photo : Associated Press / Gene J. Puskar

Un retour à Buffalo pour Jackson et sa bande, là où ils ont vécu leur dernier revers crève-cœur. Le moment est tout désigné pour tourner la page et lancer la nouvelle campagne sur de bonnes bases, d'autant plus que la formation de Baltimore est plus accomplie que jamais en attaque, ainsi qu'en défense.

Aussi talentueux soit-il, le quart des Ravens ne peut tout faire seul. Le porteur de ballon format géant Derrick Henry le complète à merveille, le rend meilleur, et le groupe de receveurs est assez décent, sans toutefois compter sur une étoile. D'ailleurs, Jackson n'a pas encore pu profiter d'une cible de choix. Un manque à combler.

Même son de cloche dans le camp des Bills, où l’on distribue le ballon à tout un chacun et l'on met de l'avant une attaque au sol soutenue, menée par un pivot alliant mobilité et puissance. Le demi James Cook appuie adéquatement Allen par la voie terrestre, nouvelle marque de commerce de l'équipe.

Le manque d'équilibre des Bengals

La formule employée à Cincinnati diffère fortement de celle appliquée tant à Baltimore qu’à Buffalo. Les Bengals ont essentiellement tous mis leurs œufs dans le même panier en retenant les services des receveurs vedettes Ja’Marr Chase et Tee Higgins, puis en délaissant l’aspect défensif.

Le tandem fait l’envie aux quatre coins du circuit Goodell. L’ensemble des quarts saliveraient à l’idée de pouvoir compter sur Chase et Higgins dans son arsenal. Mais ni l'un ni l’autre ne pourra empêcher les équipes adverses de marquer à outrance, alors qu'une tonne de points sont à prévoir dans les matchs impliquant les Bengals.

Une méthode testée en 2024 avec les résultats que l’on connaît : une deuxième année d’affilée sans éliminatoires, à la suite d’un rendement peu représentatif de 9-8, gracieuseté d’une série de cinq gains pour clore la saison.

Deux footballeurs dansent dans la zone des buts.

Ja'Marr Chase et Tee Higgins

Photo : Getty Images / Jason Mowry

Nul n’en doute, les artifices et le spectacle seront au rendez-vous chez les Bengals. Mais ces festivals offensifs à venir se traduiront-ils par des victoires, assez pour renouer avec le bal hivernal? Habituellement, ce n’est pas le cas.

Il n’y a qu’à se remémorer ces défaites de 38-33, 41-38 en prolongation, 35-34 et 44-38 subies l’automne dernier. L’attaque répondait présente, mais la défense brillait par son absence.

Puisque des sommes astronomiques sont investies dans les contrats de Burrow, Chase et Higgins, il en restait moins pour prolonger d’autres joueurs, tel que le chasseur de quart Trey Hendrickson, pourtant une référence de la profession.

Le meneur de la NFL au chapitre des sacs (17,5) la saison dernière est tout récemment parvenu à une entente avec l’organisation, au terme de la présaison et du camp d’entraînement. Un dossier qui a trop longtemps traîné, et le genre de dispute contractuelle qui laisse des traces, alors que son contrat viendra à échéance en 2026.

Le bataillon défensif a été laissé à lui-même pendant la saison morte, outre la sélection au repêchage de l’ailier Shemar Stewart, tandis qu’un changement de coordonnateur a été nécessaire après un calendrier catastrophique. Une recette ne laissant rien présager d'encourageant.

En se concentrant seulement sur ses étoiles offensives, la direction des Bengals a choisi d'aller à contre-courant. Elle contemple une autre campagne d’exception de son quart-arrière en misant sa saison sur le bras de Burrow.

Un profond contraste avec l'adage voulant que la défense remporte les championnats

Un footballeur s'apprête à décocher une passe.

Joe Burrow

Photo : Getty Images / Andy Lyons

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